Que d’admiration pour cette légion qui a ouvert les portes utiles à l’humanité. La recherche du vrai vaccin est une lutte permanente. L’état d’éveil devrait-être omniprésent. Loin de tout cela l’humanité rampe de plus en plus loin de la source en s’accrochant à des maux mortels pour déguiser sa faiblesse. Le vrai dopage, la vraie immunité consiste au retour à la source. Une humanité saine, intelligente, unie pour la protection de l’arbre et son épouse, parents nourriciers de cette nature. Aussi loin encore, destruction, pollution, violation, signe de damnation. Ce dérapage est certes difficile à surmonter puisque la profondeur ne cesse d’augmenter. Les vrais crampons pour escalader sont loin d’être chausser. Le compte à rebours est en action. Les consciences se torturent d’observer et d’être désarmer d’arrêter ce carnage dû à un reniement égoïste et ingrat, loin d’un comportement où la conscience est incarnée. Comme le mauvais ronflement d’un moteur, multitudes d’anomalies sont la cause. Le retour devient de plus en plus impossible, les catastrophes guettent de partout, des cauchemars incarnés. L’arbre agonisant et patient découvre à tous moment l’aveuglement stupide qui détruit en se détruisant. Le profit qui profite de soi-même est-il un profit? Prétendre cohabiter ne consiste pas à détruire pour profiter. Est-il temps d’admettre le vrai rôle et de se réconcilier avec lui? L’espoir assiégé, où tous les cauchemars inimaginables font partie de son quotidien. Des averses de peurs s’ajoutent à cette toile qui retrace des plongées dans des fictions catastrophiques bloquant la volonté de lutter contre les vrais indésirables. Le feu appel le feu engendrant cendre et engrais pour d’autres semences. L’équilibre traumatisé, dépouillé de plus en plus pourra-t-il résister, jusqu’à quand? Angoisse, cauchemars. Est ce que protection est synonyme d’amputation. L’équilibre s’ampute de plus en plus, combien reste-t-il ? FIN. Catastrophe, damnation, glissade abrupte. Pourquoi un viol est inacceptable, alors que notre chère planète subit le crime de l’inexistence. Un profit au dépend de la destruction est-il un profit ? Cette carie rongeant le sein nourricier, sourde à sa douleur, creuse et creuse toujours sans s’arrêter. Les cris et les sons de douleurs s’évaporent dans l’atmosphère. L’humanité impuissante vit sa propre extermination, croyant à une providence gratuite, désarmée elle assiste à l’anéantissement du patrimoine. La carie ronge de partout. Les grandes forêts source de vie deviennent les chantiers de tous les gains. La progéniture de la mer, ce qui en reste, est traquée par l’armement puissant des profits. La planète agonise, ses enfants damnés l’asphyxie sans pitié, ni remord. La peur hante les innocents agneaux croyant toujours à une providence nécessaire. La bête est assise sur sa proie. Les cicatrices sont horribles. Les temps sont proches.
Toutes les religions du ciel, toutes les philosophies, et autres croyances doivent se retrouver dans une même conduite et moralité. La vraie paix régnera sur terre. Peuples et tributs doivent vivre en harmonie. La vraie symphonie circulera dans l’atmosphère en sillonnant l’immensité profonde. La meilleure nation pour les peuples se reconnaitra à cette conduite et moralité. Si nous interrogeons les satellites, ils nous communiquerons: Au Secours Planète en danger. La meilleur Nation pour les êtres vivants est celle qui essaie de préserver, d’ajouter, de créer du bonheur. L’homme veut ressembler à Dieu en découvrant les secrets, tout en se détachant de lui. Avec le peu de science qui a été légué par l’écriture, l’homme renie avec orgueil la Générosité de son créateur. L’humanité cherchera-t-elle d’autres planètes pour les déséquilibrer et en profiter toujours par ingratitude. Intérêts, profits, gains.
La nature meurt au ralenti. Les réserves d’oxygène diminuent. Les maladies de plus en plus inconnues ont fait surface. La famine et la sécheresse sont l’un des indices. Comme réanimateur des colis d’hypocrisie sont offerts.
Le peu de science offert n’a été utilisé que pour satisfaire certains et détruire d’autres. La barbarie humaine n’a fait que se moderniser avec le temps. Coloniser la lune et mars où il n’y a ni eau, ni martiens, laisse à réfléchir sur les dangers que court la planète?
L’une des premières découvertes du corps humain sa mortalité. L’homme aspire au contraire dans un climat atmosphérique où la malice et l’intelligence sont utilisées avec génie. La beauté éternelle Omniprésente assiste à la destruction du propre arbitre. Observer et comprendre n’ont pas la même signification. La coalition du mal se propage et se fortifie. L’Environnement mourant a besoin d’alliés.
Le traitement médical et thérapeutique donnera des résultats convaincants par le strict suivi du mode d’emploi. A savoir le retour à la pratique de vraies règles. Aimez son prochain comme soit même; faire pour les autres ce que nous voudrions que les autres fissent pour nous, est une expression la plus complète de la charité et de la paix, elle résume tous les devoirs envers tout ce qui vit. On ne peut avoir de guide plus sûr à cet égard qu’en prenant pour mesure de ce que l’on doit faire aux autres ce que l’on désire pour soi. De quel droit exigerait-on des autres plus de bons procédés, d’indulgence, de bienfaisance, et de dévouement que l’on n’en a soi-même pour eux. La pratique de ces règles tend à détruire l’égoïsme, père de tous les mauvais profits. Quand les êtres humains les prendront pour seules règles de leur conduite et pour base de leurs Institutions Mondiales, ils comprendront la véritable fraternité, et feront régner entre eux la Paix et la Justice; il n’y aura plus ni haines ni dissensions, mais union, concorde et bienveillance mutuelle universelle. C’est l’unique antidote pour une meilleur cicatrisation et par la suite une guérison par étapes.
LAGHDAF AHMED / Mars 2010
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